Film des années 1960

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Parce que l'acteur Guy Madison est le seul authentique Américain du film, tous les autres noms à consonance anglo-saxonne du générique sont les pseudonymes de l'équipe italienne.

Parce que Sergio Corbucci voulait raconter le grand Ouest différemment en plaçant son action dans de sublimes décors enneigés.

Parce que non seulement Gainsbourg joue dans le film, mais il en a composé la musique.

Parce que c'est l'un des plus beaux et impressionnants films sur la Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale

Parce que Sergio Leone signe l'un des plus grands westerns de l'histoire du cinéma.

Parce que ce film d'espionnage, qui fait la part belle à son personnage féminin, a été le grand vainqueur de la 7e cérémonie des Golden Horse (les Oscars taïwanais).

Parce cette puissante épopée féministe située au sein de la société suédoise des années 60 et au style très “Nouvelle Vague” est défendue par trois grandes actrices Bergmanienne.

Parce que film s'inspire de Poe et que Christopher Lee s'appelle ici Comte Regula

Parce qu'Un jour parmi tant d'autres ose un regard différent sur la guerre, sans lyrisme ni héroïsme.

Parce que le sujet de ce court métrage (la torture) lui a valu plusieurs mois d'interdiction de diffusion.

Parce que le film est tiré de "Messieurs les hommes", 1955 Fleuve Noir Spécial Police N°67

Parce que le légendaire et controversé général Custer méritait bien cette fresque plus symbolique que réaliste sur les errements des USA durant les guerres indiennes.

Parce que la moto de Marianne Faithfull est une Harley Davidson Electra Glide.

Parce que même si le réalisateur, Mario Caiano, manquait de moyens, certaines séquences ne manquent en revanche pas d'audace.

Parce que Serge Gainsbourg a gardé ses cheveux pour jouer le rôle du Chef des Chauves.

Parce que Jean Yanne, Jean Lefebvre et Michel Galabru jouent ici des Anglais, alors qu’on ne fait pas plus français qu’eux.

Parce que si Le Prêteur sur gages n’est pas le film le plus connu de l’immense Sidney Lumet, c’est l’un de ses meilleurs.

Parce que le film est une expérience documentaire sans équivalente sur la place de l'homme sur terre.

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn

Parce que ce polar en noir (et blanc) est signé par un étonnant metteur en scène autrichien, qui a réalisé des comédies, des films d'horreur mais aussi des westerns !

Parce que El Dorado est la synthèse parfaite du génie d'Howard Hawks avec John Wayne, Robert Mitchum et James Caan en passeurs idéals.

Parce que Jess Franco a tourné plus de 200 films mais que celui-ci était un de ses préférés.

Parce que le film (de chasse à l'homme) a été qualifié par son réalisateur de "film pop".

Parce qu'on y voit Maurice Pialat dans un petit rôle de photographe.

Parce que le personnage principal a le même nom que son interprète, la regrettée Juliet Berto, icône de la Nouvelle Vague vue chez Godard et Rivette avant de réaliser ses propres films.

Parce que pour la première fois, un film adaptait San Antonio, il aura peu de descendance

Parce que ce fleuron de l'Euro Spy (le film d'espionnage-action européen des années 1960) a pour héros l'agent Super 7, auquel il ne manque que le 00.

Parce que sans le Django de Corbucci, pas de Tarantino, ou presque.

Parce que la réalisatrice aborde la sexualité sans fausse pudeur. En 1966, le Festival de Venise a interdit de projection publique cet audacieux portrait de famille, redoutant un scandale !

Parce que Les amoureux est le premier film de fiction en tant que réalisatrice de Mai Zetterling.

Parce que cette comédie romantique légère et mélancolique contient l’une des scènes les plus pudiquement érotiques du cinéma français.

Parce qu'en scrutant les gestes du quotidien, Guy Gilles a créé un portrait de Paris et de la France de 1965.

Parce que certes le film est signé Laloux Topor mais avec aussi Alain Goraguer à la musique

Parce que cette oeuvre douce-amère, portée par deux monuments du cinéma italien, dépeint parfaitement l’ambiguïté de l’être humain : son égoïsme, son amour-propre, sa tendresse.

Parce qu’il s’agit d’une comédie musicale culte qui a gagné trois Golden Globes et huit Oscars au total.

Parce que sa réalisatrice, l’actrice Ana Mariscal, considérait cette chronique estivale sur la fin de l’innocence, comme l’une de ses oeuvres les plus personnelles.

Parce que ce classique de la comédie britannique signé Muriel Box était jusqu’à présent resté inédit en France.

Parce que ce n’est pas le John Wayne le plus connu, et pourtant, ikl s’agit de l’un de ses plus drôles.

Parce que le film devait couter 2 millions de dollars et dépassera les 35 à l'arrivée.

Parce qu’il n’y a pas que Fellini, en Italie !

Parce que le film (italien) se glissait dans les pas du succès des "Vikings" de Fleischer

Parce que le dernier des 3 films italiens de Jean-Paul Belmondo marque la rencontre avec une autre légende, Claudia Cardinale, 2 ans avant Cartouche

Parce que le titre renvoie à la carrière passée de Federico, sept films et deux courts qui comptent donc pour un demi !

Parce que derrière la caméra se cache Don Siegel, réalisateur de Dirty Harry et l'un des plus grands cinéastes des années 60 et 70.

Parce que le film mêle images de concert rock et musique classique en fond sonore

Parce que c'est une comédie militaire britannique réalisée par une femme et tournée en France sur un navire de la flotte américaine.

Parce que le titre du film renvoie à la phrase de Rommel le 22 avril 1944 en Normandie.

Parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne : André Hunebelle avait déjà dirigé Jean Marais à trois reprises (notamment dans Le Bossu) et allait ensuite le retrouver pour Fantômas et ses suites.

Parce que John Ford propose un western sombre et mélancolique porté par deux immenses stars de l'époque : John Wayne et James Stewart.

Parce que Jean-Luc Godard, parce que Michel Legrand, parce qu'Anna Karina, parce que Prix spécial du jury et prix Pasinetti au Festival de Venise.

Parce que Mitraillette Kelly reste l'un des meilleurs films de Roger Corman, roi de la série B hollywoodienne.

Parce que cette comédie italienne poussa le pape Paul VI à s'opposer au changement de la loi sur le divorce.

Parce que cette histoire d’amour subversive, est le brillant dernier long métrage mis en images par Kinuyo Tanaka.

Parce que The Truth About Women est un récit d’émancipation féminine, qui loue la liberté sentimentale et sexuelle des femmes à l’époque de leur objectification omniprésente.

Parce qu’entre les dialogues de Michel Audiard, la mise en scène de Gilles Grangier et la générosité de Jean Gabin et Bernard Blier, on ne sait plus où donner de la tête.

Parce que Mastroianni incarne à merveille un homme brisé que l’amour rend impuissant, méprisé par une société viriliste qui glorifie ridiculement l’acte sexuel.

Parce que le rôle de Robert Mitchum a d'abord été proposé à Rock Hudson, Charlton Heston et... Cary Grant, qui joue finalement un autre personnage.

Parce que Jean- Luc Godard y double Belmondo, la sensation est étrange!

Parce que le film est de Truffaut puis de Godard (qui a fait la bande son)

Parce que ce poignant mélodrame social, particulièrement engagé, centré sur le parcours d’une prostituée, est l’un des plus grands films de Kinuyo Tanaka.