Documentaires

en VOD et en Streaming

parce que ce documentaire est galvanisant dans sa façon de s'adresser aux jeunes pour leur parler des grandes avancées sociales de notre pays. Pédagogique sans être didactique, le film fait mouche.

Parce que la compositrice Béatrice Thiriet et le réalisateur Jérôme Diamant-Berger avaient déjà travaillé ensemble sur la mise en musique des films réalisés par Henri Diamant-Berger, le grand-père de Jérôme.

Parce que c'est l'histoire d'un secret de famille qui débouche sur une véritable série noire, et donne naissance à un grand documentaire.

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

Parce que Charlotte Sivera transforme son portrait en déclaration d'amitié

Parce que cet étonnant mélange de documentaire et de fiction est basé sur des faits réels.

Parce que c'est un témoignage bouleversant sur le sevrage d'une drogue qui a marqué les esprits dans les années 1990

Parce que ce film, conçu comme une enquête, suit la piste de Franck, ami et comédien disparu depuis sa conversion à l'Islam, que le réalisateur tente de retrouver et filmer avec humanité.

Parce que cette version restaurée du film de 1964 donne à voir le mime Marceau et son art, avec le Paris de son époque pour terrain de jeu.

Parce que ce documentaire de passionné replonge avec délice et quelques savoureuses anecdotes dans les grandes années du western spaghetti.

Parce que tournage sur place a pris six mois, alors qu'on a l'impression que le film se déroule en 24 heures.

Parce que ce documentaire possède une pointe d'étrangeté rêveuse qui fait tout le charme du cinéma belge.

Parce que c'est un hommage au cinéma en général et au film "Les Parapluies de Cherbourg" de Jacques Demy en particulier.

Parce qu'Arnaud des Pallières, par un défilement d'images de films de famille, reprend avec grâce tous les codes du cinéma muet (noir et blanc, cartons), pour redonner vie à une jeune fille disparue dans les années 30.

Parce que ce documentaire lève le voile sur un moment essentiel mais méconnu de l'histoire du cinéma français.

Parce que pour la seule et unique fois, Claude Miller s'attaquait au documentaire.

Parce que Patricia Bardon raconte la véritable histoire de l'adoption de sa fille.

Parce que le film revient trente ans plus tard dans l'endroit même où René Allio avait tourné son célèbre "Moi, Pierre Rivière..."

Parce que le film demeure le plus gros succès en salles pour un documentaire non animalier.

Parce que le film a été tourné au long cours entre 1991 et 1994, durant les travaux de réouverture de la grande galerie de Zoologie de Paris.

Parce que juste à travers les mains, des gens racontent des histoires touchantes, amusantes, faussement anecdotiques.

Parce que chez les Diamant-Berger, le cinéma est une affaire de famille.

Parce que Nicolas Philibert n'imaginait pas, au départ, que son film comporterait autant de personnages.

Parce que le 71 rue Blanche est l'adresse de l'atelier du sculpteur Christophe Boutin, coréalisateur du film.

Parce que pour la première fois, un grand musée ouvrait ses coulisses à des caméras.

Parce que le film annonce le cinéma à venir d'Alain Cavalier

Parce que ce court documentaire nous révèle les techniques de la pionnière du cinéma d'animation Lotte Reiniger.

Parce qu'on y voit Maurice Pialat dans un petit rôle de photographe.

Parce qu'en scrutant les gestes du quotidien, Guy Gilles a créé un portrait de Paris et de la France de 1965.

Parce que le film mêle images de concert rock et musique classique en fond sonore

Parce que les quatre intervenants de ce documentaire n'ont aucun mal à nous convaincre de l'importance majeure de l’oeuvre de Sacha Guitry.

Parce que le film de Pialat a souvent été qualifié de plus beau au sein du cinéma français

Parce que l'on redécouvre petit à petit le cinéma d'Edouard Luntz

Parce qu'après "La Pointe courte" et avant "Cléo de 5 à 7", Agnès Varda réalisa, tout en fantaisie et couleurs irradiantes, un documentaire sur les châteaux de la Loire.

Parce que Resnais a ainsi fait entrer la Bibliothèque Nationale au Panthéon du cinéma

Parce que ce titre imprononçable correspond au nom latin du Manchot Empereur, qui est justement le sujet du film.