Films de Guerre et Westerns

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Parce que ce film d’animation, qui parle de l'Angola de 1995, en pleine guerre civile, et de l'Angola de 2011, où la liberté d'expression est encore menacée, est, disons le, important.

Parce que ce film ukrainien, tourné dans le Donbass avec des acteurs non professionnels, est une vision impactante, troublante, bouleversante de l'avenir de tout un pays.

Parce qu’il s’agit du premier film estonien à avoir été nommé aux Oscars (c’était en 2015).

Parce que c'est une grande histoire d'amour portée par une actrice d'exception, Saoirse Ronan, ici au sommet de son Art.

Parce qu’un film qui dézingue du nazi, ça fait toujours plaisir.

Parce que la musique de Gianni Ferrio (qui a composé entre autres, la musique du Dollar troué) va vous rester dans la tête pendant longtemps.

Parce que c’est le récit sans connivence des mensonges américains ayant conduits au désastre de la guerre en Irak.

Parce que ce film poignant montre la Shoah à hauteur d'enfants avec pudeur et sensibilité.

Parce que ce classique de Steven Spielberg fut salué dès sa sortie par des anciens combattants affirmant que la reconstitution très réaliste du débarquement de Normandie est l'un des points forts du film.

Parce que ce film culte est un peu le film-somme de Robert Redford acteur et réalisateur.

Parce que Robin Williams a reçu le Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical en 1988 pour ce rôle.

Parce que ce western engagé marque la rencontre entre le réalisateur de L’homme qui rétrécit et l’une des icônes de la Blaxploitation.

Parce que ce film oublié fait partie des perles méconnues du western spaghetti et est sans aucun doute l'un des meilleurs de la veine comique.

Parce que le film a bien été tourné sur les côtes vénézueliennes.

Parce qu’il faut toujours des salopards pour gagner une guerre !

Parce que Donald Sutherland n’a jamais été aussi drôle et touchant que dans cet immense classique signé Robert Altman.

Parce que George C Scott a remporté l'Oscar pour son rôle de général mais l'a refusé.

Parce que Sergio Corbucci voulait raconter le grand Ouest différemment en plaçant son action dans de sublimes décors enneigés.

Parce que Sergio Leone signe l'un des plus grands westerns de l'histoire du cinéma.

Parce que ce film d'espionnage, qui fait la part belle à son personnage féminin, a été le grand vainqueur de la 7e cérémonie des Golden Horse (les Oscars taïwanais).

Parce qu'Un jour parmi tant d'autres ose un regard différent sur la guerre, sans lyrisme ni héroïsme.

Parce que le légendaire et controversé général Custer méritait bien cette fresque plus symbolique que réaliste sur les errements des USA durant les guerres indiennes.

Parce que même si le réalisateur, Mario Caiano, manquait de moyens, certaines séquences ne manquent en revanche pas d'audace.

Parce que El Dorado est la synthèse parfaite du génie d'Howard Hawks avec John Wayne, Robert Mitchum et James Caan en passeurs idéals.

Parce que sans le Django de Corbucci, pas de Tarantino, ou presque.

Parce que ce n’est pas le John Wayne le plus connu, et pourtant, ikl s’agit de l’un de ses plus drôles.

Parce que le titre du film renvoie à la phrase de Rommel le 22 avril 1944 en Normandie.

Parce que John Ford propose un western sombre et mélancolique porté par deux immenses stars de l'époque : John Wayne et James Stewart.

Parce que ce western est une des versions cinématographiques les plus méconnues d’une légende ambiguë de l’ouest.

Parce que le maître Billy Wilder s’aventure ici dans le film de guerre et de prisonniers sans rien perdre du mordant de ses comédies culte.

Parce que ce drame historique d’une saisissante acuité articule une poignante histoire d’amour perdu à une empreinte documentaire du Japon d’après-guerre.

Parce que ce western atypique, psychologique et politique, mais au suspense tendu, se déroule en temps réel, comme en attestent les nombreux plans sur des horloges.

Parce que cet opus plus mineur que les chefs-d ’oeuvres les plus panthéonisés du genre peut néanmoins prétendre au titre de parangon des westerns de l’âge d’or.

Quel est le point commun entre Walter Brennan, Paul Newman et Pierre Perret ? Ils ont tous les trois interprété au cinéma le personnage historique du Juge Roy Bean.

Parce que Micheline Presle y tient deux rôle et qu'elle y est doublement émouvante

Parce que Joseph Kessel adapta son propre roman et Litvak en fit son propre remake

Parce que c’est, en 1912, un semi-western muet signé d’Alice Guy filmé aussi bien en studios qu’en extérieur.

Parce que la réalisatrice pionnière Alice Guy signe ici un court-métrage novateur au scénario mêlant action, humour et romance.