Comédies

en VOD et en Streaming

Parce que c'est le premier film en tant que réalisateur de l'acteur Charlie Day (la série "Philadelphia"). Il joue aussi le rôle principal, entouré de ses amis stars.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que auto-produite avec peu d'argent, cette “série Z volontaire” retrouve l'esprit vintage et l'ambiance déjantée du cinéma d'exploitation des années 70.

Parce que ces quatre minutes d'humour noir ont été inspirées par l'expérience de Milgram, qui prouve à quel point des individus ordinaires peuvent commettre des actes horribles.

Parce que les deux réalisateurs sont frères, et se sont fait connaître par leurs vidéos YouTube avant de passer au cinéma.

Parce que le réalisateur Benoît Bouthors a tourné plusieurs de ses courts métrages en Corse.

Parce que sa violence fun et décomplexée rappelle le cinéma de Kitano

Parce que le titre est une locution latine bien connue (cf.les pages roses du dictionnaire), attribuée à Caton l'ancien dans le cadre des guerres puniques et qui signifie : "Il faut détruire Carthage !"

IL faut découvrir le talent de Paul Nouhet, devant et derrière la caméra.

Parce que deux frères que tout oppose, interprétés par les généreux Sébastien Chassagne et Olivier Chanteau, valent bien une petite balade en Bretagne.

Parce que Patricia Bardon a saisi l'air du temps avec humour et sensibilité. Ses personnages sonnent juste.

Parce que Matthew McConaughey en fait des tonnes dans la peau du héros et c'est un vrai bonheur. Harmony Korine l'a entouré de personnages délirants pour cette comédie frappadingue.

Parce que Claude le Pape, scénariste de Thomas Cailley, Hubert Charuel, ou encore Thomas Lilti, donne ici à Jackie Berroyer, personnage solitaire et démuni, un rôle plein d'humour et de sensibilité.

Parce que c'est le premier court métrage d'Antoine Du Jeu, qui a été critique aux Cahiers du cinéma.

Parce qu’à partir de 40 ou 50 ans, les actrices se voient proposer de moins en moins de rôles, elles deviennent "invisibles". La réalisatrice Gracia Querejeta remédie à cela en faisant de ces femmes les héroïnes de son film.

Parce qu'un jeu de massacre gore et déjanté filmé comme du Sergio Leone et traité façon cartoon.

Parce que ce film émouvant est l'adaptation d'un livre qui est lui-même une histoire vraie (l'auteur y racontait sa vie et sa relation avec son frère handicapé).

Parce que c'est un film hommage à l'âge d'or du cinéma italien de Scola à Fellini...

Parce qu'on rêve tous d'un jumeau qui fait toutes nos corvées

Parce que ce feel-good movie lumineux est un précieux allié pour bousculer les visions sur le handicap.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que la plage arpentée par les personnages est celle sur Belle-Île-en-Mer.

Parce que le film est aussi pétillant sur la forme que passionnant sur le fond.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que les deux réalisateurs sont également musiciens (ce qui est raccord avec le sujet du film) et ont composé la musique de leur court métrage.

Parce que les réalisateurs d'"Everything Everywhere All at Once" offrent à l'interprète d'Harry Potter un rôle pour le moins singulier.

Parce que cette comédie noire truculente réunit le gratin des acteurs danois.

Parce qu'avant de réaliser "Deux Fils", Félix Moati proposait déjà un court métrage avec son compère Vincent Lacoste, sélectionné à Cannes en 2016.

Parce qu’après le succès de Frances Ha, Noah Baumbach et Greta Gerwig poursuivent leur exploration d’un New-York intime et pop. 

Parce que c'est la success story d'une américaine ordinaire qui inventa un balai-brosse révolutionnaire !

Parce que la réalisatrice a présenté son film comme une version d'Impitoyable de Clint Eastwood avec une machine à coudre.

Parce que Julien Hallard, pour le dernier de ses 7 courts métrages et 4 ans avant son long métrage "Comme des garçons", donne vie à un désopilant sosie fan de Jim Morrison en la personne de Franc Bruneau.

Pour le mélange entre personnages réels et animaux virtuels... dans une production turque!

Parce que cette grande aventure burlesque rappelle le génie et la malice des albums de Tintin

Parce que le titre original de ce film néerlandais ("Rabarber") signifie tout simplement "rhubarbe".

Pour le 1er prix des effets spéciaux du film asiatique en 2014

Parce que c'est la vraie maison de la vraie Paris Hilton qui apparaît dans le film.

Parce que cette comédie burlesque sans dialogues est l'occasion de revoir, dans le rôle-titre, le regretté Christophe Salengro, président à vie du Groland.

Parce que Monia Chokri, quelques années avant son César obtenu en 2024 pour "Simple comme Sylvain", avec la même Magalie Lépine-Blondeau, sait montrer l'amitié et ses failles avec mordant.

Parce que bien que datant de 2012, le film a été tourné en pellicule 35mm.

Parce que cette comédie romantique fonctionne à plusieurs niveaux : partant d’une fiction qui flirte avec le fantastique, elle donne à réfléchir sur les rapports hommes/femmes avec subtilité et émotion.

Parce que la bande originale est un mélange de musique classique (Mozart, Bach) et de northern soul.

Parce que l'étonnant Takaaki Nomi, qui interprète le rôle principal, n'est pas acteur et ne comprenait pas qu'il tournait dans un film.

Parce que le film est une fiction mais intègre d'authentiques images de la grossesse de la réalisatrice et actrice Lucie Borleteau, filmées par son amie comédienne Sara Rastegar.

Parce qu'il faut savoir que l'acteur Estéban n'est autre que le fils du réalisateur Philippe Clair, roi de la comédie nanarde ("Le Führer en folie", "Si t'as besoin de rien... fais-moi signe" et autres pépites).

Parce que cette intrigue n'est pas si folle si on prend en compte les progrès des effets spéciaux, qui permettent de continuer à faire jouer des acteurs décédés ou de remplacer un acteur par un autre sans ce que cela se remarque.

Parce que ce sont les début de Thomas Cailley, réalisateur des géniaux Les Combattants et Le règne animal.

Parce que les Coen ont tourné leur film dans leur Minnesota natal.

Parce que Jules-Édouard Moustic émeut dans ce contre-emploi, sensible et désabusé, face à Noémie Lvovsky.

Parce que fasciné par l'Inde, Wes Anderson ne s'y était pourtant jamais rendu avant le film

Parce que le spectateur s'interrogera longuement sur le vrai du faux dans ce court particulièrement intriguant.

Parce que pour la première fois, un acteur espagnol, Javier Bardem, remportait un Oscar.

Parce qu'après avoir réalisé le dramatique "Mysterious Skin" (qui aborde les abus sexuels sur les enfants), le réalisateur Gregg Araki éprouvait le besoin de réaliser un film plus léger.

Parce que pour la rencontre improbable entre le basket-ball et le Prince du Luxembourg.

Parce que le désir amoureux n'a que rarement été aussi bien filmé.

Parce que le film a été récompensé du Prix du meilleur scénario à Cannes, ainsi que d’un prix d’interprétation féminine collectif pour l’ensemble de ses actrices.

Parce que David Bowie nous manque chaque jour.

Parce que Thomas Salvador est réalisateur et acteur, mais aussi prestidigitateur, alpiniste, danseur et acrobate.