Parce qu'il faut voir Emmanuelle Bercot dans le rôle qui lui a valu un prix d'interprétation à Cannes.

Parce que le talent incomparable de l'acteur Alex Lutz, brillant interprète d'un chanteur de variété désabusé autrefois populaire, est aujourd'hui dépassé.

Parce qu'il faut découvrir le talent et la beauté de Lou Lampros.

Parce que Julie Gayet, actrice, productrice, féministe, fait face avec courage et talent à une problématique dont elle constate chaque jour les effets dans le milieu du cinéma.

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que Karin Viard finit par être touchante dans la peau d'une femme que l'on voudrait dans un premier temps gifler tant elle est odieuse.

Parce que cette comédie entraînante aborde le sujet très sérieux de la pollution industrielle.

Parce qu'Hélène Angel nous fait réaliser à quel point l'école marque nos vies.

Parce que Klapisch dresse le portrait de plusieurs parisiens dans une capitale sublimement filmée.

Parce que pour son premier film, Anne Le Ny signe une histoire d'amour naissante, drôle et grave à la fois.

Parce que, certes méconnu, il s’agit pourtant de l’un des plus grands et des plus intenses rôles de Karin Viard, l’une de nos plus importantes actrices.

Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

Parce qu'on ne boude pas son plaisir de voir une série hip hop audacieuse devenir grande dans un film porté par un casting de stars et une bande son de folie !

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce que pour la première fois, Coluche, en triste pompiste, n'y faisait pas rire

Parce qu'il faut voir Emmanuelle Bercot dans le rôle qui lui a valu un prix d'interprétation à Cannes.

Parce que le talent incomparable de l'acteur Alex Lutz, brillant interprète d'un chanteur de variété désabusé autrefois populaire, est aujourd'hui dépassé.

Parce que Marjane Satrapi a porté à l'écran sa bande dessinée éponyme, qui est elle-même basée sur ses souvenirs d'enfance et d'adolescence.

Parce que c'est un grand classique des fêtes, servi par un casting de grand luxe.

Parce que ce classique a obtenu huit nominations lors de la septième cérémonie des César et a décroché quatre récompenses, dont celle du meilleur acteur pour Michel Serrault et celle du meilleur scénario.

Parce que le film demeure le plus gros succès en salles pour un documentaire non animalier.

Parce qu'une nouvelle fois, Miller illustre ses obsessions sur l'enfance, la nature, la sexualité, la solitude.

Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn

Parce que c'est l'un des plus beaux et impressionnants films sur la Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale

Parce que c’est le film référence sur le marché noir, durant l’Occupation.

Parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne : André Hunebelle avait déjà dirigé Jean Marais à trois reprises (notamment dans Le Bossu) et allait ensuite le retrouver pour Fantômas et ses suites.

Parce que cette comédie romantique légère et mélancolique contient l’une des scènes les plus pudiquement érotiques du cinéma français.

Parce que Clouzot a adapté le livre de Steeman sans l'avoir relu

Parce que Gabin et Marlène faillirent jouer dans ce 8ème film de Marcel Carné.

Parce que le Paris de Carné Prévert est "tout petit pour ceux qui s'aiment d'un grand amour"

Parce que la base du scénario s'est vraiment déroulé à Tulle en 1920.

Parce que c'est l'une des nombreuses merveilles nées de la collaboration entre Prévert et Carné.

Parce que pour Orson Welles, Raimu était le plus grand acteur du monde

Parce que Micheline Presle y tient deux rôle et qu'elle y est doublement émouvante

Parce que même octogénaire et un peu plus, cette version du roman de Hugo est sans doute la meilleure.

Parce que c'est un Scarface à la marseillaise dont on redécouvre la modernité tous les 10ans

Parce que Raimu en truand toulonnais qui évolue dans des décors reconstitués à Berlin et non sur la Côte d'azur.

Parce que Joseph Kessel adapta son propre roman et Litvak en fit son propre remake

Pour un mélodrame aussi brillant que méconnu mais aussi pour redécouvrir Gaby Morlay, concentré de vitalité

Parce que la jungle de Malaisie a été reconstituée avec soin en région parisienne.

Parce que Clouzot donne pour la première fois un emploi d'envergure à Bourvil

Parce qu'il s'agit de l'un des plus grands films de gangster français.

Parce qu'il y a la seule rencontre Belmondo Resnais.

Parce que l'immense Belmondo fait ses cascades lui-même !

Parce que le DJ Bob Sinclar a choisi son nom en référence à Belmondo dans le film.

Parce que Belmondo en escroc minable y débite du Michel Audiard à un rythme de mitraillette: « Comme je dis toujours, pour la musique militaire, il y a les allemands mais pour les opéras, les rois, c'’est les italiens »

Parce que c'est le quatrième plus gros succès du box-office français 1979.

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn

Parce que pour la première fois, Coluche, en triste pompiste, n'y faisait pas rire

Pour Delon et Gabin bien sûr, mais aussi Depardieu dans une de ses premières apparitions.

Parce que le personnel du train utilisé dans le film s'est déplacé spécialement pour celui-ci.

Parce que Trintignant est terrifiant quand il joue  les ennemis publics n°1.

Parce que Delon y cite Paul Valery ("la société a deux ennemis, le désordre et l'ordre")

Parce que le souvenir du gang des tractions avant (et pour Delon frisé !).

Parce que c'est une oeuvre de science-fiction délirante, absurde, sexuelle, déviante, hilarante !

Parce que c'est une oeuvre aussi méconnue que bouleversante sur la vie d'une femme dans une France qui n'existe plus.

Parce que le couple Nadine et Jean-Louis Trintignant (elle réalisatrice et lui acteur) a tourné ensemble cinq long-métrages de cinéma, un court et deux téléfilms.

Parce que le film de Jacques Rouffio n'était que le 7e d'Isabelle Adjani

Parce que c'est le second des deux films réalisés par Gérard Brach, scénariste entre autre pour Jean-Jacques Annaud, Claude Berri et Roman Polanski (qui lui a rendu la pareille en participant à l'écriture).

Parce que la cupidité des dirigeants d’entreprise n’est pas nouvelle. La preuve, le cinéma en parlait déjà en 1978. Plus Serrault, Brasseur, Trintignant, Deneuve, plus le prix Louis Delluc et le César du meilleur film.

Parce que c'est le film qui a révélé Charlotte.

Parce que les représentants en parapluie y deviennent peintre.

Parce qu'une confrontation Sim / Jacques Balutin / Daniel Prévost ne se refuse pas.

Parce que l’un des jeunes pompiers a un « sixième sens » qui consiste à voir les filles nues, même lorsqu’elles sont habillées !

Parce que Maurice Ronet joue un parachutiste assassin, rôle qu'il tenait déjà une quinzaine d'année plus tôt dans "Ascenseur pour l’échafaud" de Louis Malle.

Parce que la chanson du générique de fin est interprétée par Charles Aznavour.

Parce que Jean Yanne, Jean Lefebvre et Michel Galabru jouent ici des Anglais, alors qu’on ne fait pas plus français qu’eux.

Parce que ce fut le dernier rôle au cinéma du toujours élégant Paul Meurisse.

Parce que Patrick Dewaere en moniteur de colonie (et Michel Blanc dans son 2ème rôle).

Parce que non seulement Gainsbourg joue dans le film, mais il en a composé la musique.

Parce que pour la première fois, un film adaptait San Antonio, il aura peu de descendance

Parce que les Martin Circus - ici vedettes ! - apparaissaient déjà dans Les Bidasses en folie

Parce que pour les Charlots, le film succédait au Retour des bidasses en folie

Parce que c’est un film hardcore, véritable ovni dans le paysage cinématographique français.

Parce que le film est tiré de "Messieurs les hommes", 1955 Fleuve Noir Spécial Police N°67

Parce que la présence de Gérard Jugnot jette un pont (ou plutôt un viaduc) entre la bande ces Charlots et celle du Splendid.

Parce que le film est composé de quatre histoires, trois tirées d'Edgar Allan Poe et une de Thomas De Quincey.

Parce que Jean Yanne, Jean Lefebvre et Michel Galabru jouent ici des Anglais, alors qu’on ne fait pas plus français qu’eux.

Pour y apprendre que D'Artagnan a eu un fils qui ressemblait à Michel Leeb, du moins ici

Parce qu'on peut assister aux débuts d'un tout jeune Jean Reno, face à des vedettes confirmées comme Jean-Pierre Marielle, Darry Cowl et Daniel Prévost.

Parce que le film met au coeur de son intrigue les rapports entre l’amour et l’argent, et qu'on assiste à la rencontre (au générique) entre Dominique Besnehard et Paulette Dubost.

Parce qu'on y entend Sheila (et qu'Ozon y provoque!)

Parce qu'on y voit Maurice Pialat dans un petit rôle de photographe.

Parce que le court de Ladj Ly on le sait sera développé plus que brillament en long

Parce qu'on découvrait dans le film (signé Marina de Van!) Gaspard Ulliel à 12 ans

Parce que la véritable inspiratrice du film (fantastique) est bel et bien la Bretagne

Parce que le rôle principal est interprété par la musicienne pop-rock Fishbach.

Parce que le film de Xavier Legrand filme en fait le 1er chapitre de son Jusqu'à la garde

Parce que la musique est signée par le groupe d'électro M83, dont l'un des membres est le frère du réalisateur Yann Gonzalez.

Parce que le film reçut le César ( du meilleur court métrage!) en 2014

Parce que le film était le dernier court de François Ozon avant qu'il passe au long

Parce que "Yandere" est un terme japonais qui décrit la façon dont l'amour dérive en folie furieuse ; ce qui résume bien ce court métrage.

Parce qu'il faut savoir que l'acteur Estéban n'est autre que le fils du réalisateur Philippe Clair, roi de la comédie nanarde ("Le Führer en folie", "Si t'as besoin de rien... fais-moi signe" et autres pépites).

IL faut découvrir le talent de Paul Nouhet, devant et derrière la caméra.

Parce que le titre est une locution latine bien connue (cf.les pages roses du dictionnaire), attribuée à Caton l'ancien dans le cadre des guerres puniques et qui signifie : "Il faut détruire Carthage !"

Parce que le film est une fiction mais intègre d'authentiques images de la grossesse de la réalisatrice et actrice Lucie Borleteau, filmées par son amie comédienne Sara Rastegar.

Parce que le film fait converger sans papiers et foot au féminin

Parce que le bar du film existe vraiment ( à Brignogan!)

Parce que pour son 3e film, Mikhaël Hers recevait le prix Jean-Vigo du court métrage

Parce que la coréalisatrice Lucie Rico a également publié plusieurs romans.

Parce que bien avant Party Girl, les réalisatrices recevaient le César du Court Métrage

Parce que le film de Pialat a souvent été qualifié de plus beau au sein du cinéma français

Parce que peu courants sont les films décrivant une révolte de sapins de Noel!

Parce que l'imaginaire enfantin se doit d'être pris au sérieux, le film le démontre

Parce qu'une chroniqueuse du "Cercle" s'essayait à la mise en scène

Parce que le film marque en 5 minutes la rencontre entre l'opéra et les danses urbaines

Parce que le film ouvre différents thèmes qu'Olivier Assayas approfondira ensuite

Parce que l'on redécouvre petit à petit le cinéma d'Edouard Luntz

Parce que le film oh combien atypique pourrait qualifié de road movie improvisé

Parce que Philippe Rebbot y compose un clown hors normes

Parce que le décor poétique choisi par la réalisatrice se situe à Nanterre : il s'agit des bien nommées "tours nuages".

Parce que le film est de Truffaut puis de Godard (qui a fait la bande son)

Parce que le film est en quelque sorte un teen movie

Parce que cette séance de psy pas comme les autres illustre impeccablement le principe de l'inquiétante étrangeté.

Parce que ce film sans parole fait la part belle aux musiques envoutantes du compositeur estonien Arvo Pärt.

Parce que le film nous parle de migrants et d'adolescents

Parce que c'est la lauréat du César du meilleur court métrage en 2003.

Parce que le film révéla Finnegan Oldfield et Garance Marillier

Parce que ce pastiche de Guillaume Rieu est aussi un hommage à Ray Harryhausen

Parce que la chute du film est devenue mythique

Parce que les thèmes de "En guerre" étaient déjà présent 20 ans plus tôt dans le film de Stéphane Brizé

Parce qu'on trouve dans le film l'esprit que Jean-Pierre Jeunet approfondira dans Amélie Poulain

Pour la brève rencontre de deux grands acteurs comiques français: Pierre Richard et Jacques Villeret.

Parce que la BD que le film adapte était elle-même tirée de Baudelaire

Parce que les années ont érigé le premier film de Caro Jeunet au rang de classique

Parce que le réalisateur Alexandre Labarussiat connait bien le monde de l'escrime, sport qu'il a pratiqué pendant des années... et cela se voit !

Parce que ce court métrage pudique, récompensé aux Césars, réunie l'actrice Marilyne Canto (également réalisatrice), son compagnon Antoine Chappey et leur fils Louis.

Parce que le film confronte Benoit Forgeard (réalisateur) et Vincent Macaigne (acteur)

Parce qu'il y a certes de la téléréalité mais aussi plein d'animaux

Parce que Klapisch donnera le titre de son film (un faux docu) à sa société de production

Parce que le film montre que l'animation est aussi une question de simplicité dans l'efficacité

Parce que le film (d'animation) est moins sur James Brown que sur l'Amérique des années 60

Parce que Resnais a ainsi fait entrer la Bibliothèque Nationale au Panthéon du cinéma

Parce que le film a remporté le César du meilleur court en 2018

Parce que, filmé à Manhattan, le film montrait déjà que Klapisch était un grand voyageur

Parce que le film est tourné à 2 caméras pour capturer aux mieux les enfants d'une classe

Parce que le film mêle images de concert rock et musique classique en fond sonore

Parce que Depardieu y a un bébé pour partenaire

Parce que cette comédie burlesque sans dialogues est l'occasion de revoir, dans le rôle-titre, le regretté Christophe Salengro, président à vie du Groland.

Parce que ce titre imprononçable correspond au nom latin du Manchot Empereur, qui est justement le sujet du film.

Parce qu'avant la tortue Rouge, Michael Dudok de Wit faisait ses gammes

Parce que le 71 rue Blanche est l'adresse de l'atelier du sculpteur Christophe Boutin, coréalisateur du film.

Parce que si le film - d'animation, 8 minutes! - est français, il adapte un conte coréen

Parce que c'est un hommage au cinéma en général et au film "Les Parapluies de Cherbourg" de Jacques Demy en particulier.

Parce que ce film, mi-installation mi-documentaire, visita les festivals du monde entier.

Parce que certes le film est signé Laloux Topor mais avec aussi Alain Goraguer à la musique

Parce que le film a reçu une Palme d'or à Cannes ( du court métrage)

Parce que le film annonce le cinéma à venir d'Alain Cavalier

Parce que Thomas Salvador est réalisateur et acteur, mais aussi prestidigitateur, alpiniste, danseur et acrobate.