Tous les films de Découvertes

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Parce que comme souvent dans le cinéma de Yerzhanov, c’est un film hanté : par le passé, par des esprits qui refusent de quitter le monde des vivants.

Parce que cette suite est encore plus spectaculaire, touchante et riche que le premier opus déjà excellent.

Parce que cette histoire digne des frères Coen fait passer les aventures de Very Bad Trip pour une soirée Monopoly-tisane.

Parce que ce film d’arts martiaux chinois recèle, outre des combats impeccablement chorégraphiés, de séquences visuellement sublimes.

Parce que le film aborde avec intelligence et délicatesse la thématique de la maternité chez les adolescentes et permet à la jeune actrice Carla Quílez de crever l'écran dans son premier rôle !

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que cette histoire de passage à l'âge adulte parle avec justesse de l'adolescence, de ses colères, de ses angoisses et de sa fougue.

Parce que ce premier film pop et acidulé porte sur un sujet de société encore très actuel.

Parce que ce thriller à combustion lente brosse le portrait tout en nuances d’une Turquie loin des cartes postales.

Parce que c'est la nouvelle provocation très attendue du sulfureux Peter Strickland, réalisateur de The Duke Of Burgundy et In Fabric.

Parce que ce film d’animation, qui parle de l'Angola de 1995, en pleine guerre civile, et de l'Angola de 2011, où la liberté d'expression est encore menacée, est, disons le, important.

Parce que les décors, somptueux autant que dangereux, sont tout bonnement sublimes, presque envoûtants, et que Simon Baker y trouve rien de moins que son plus grand rôle.

Parce que c'est le premier film en tant que réalisateur de l'acteur Charlie Day (la série "Philadelphia"). Il joue aussi le rôle principal, entouré de ses amis stars.

Parce que Julie Gayet, actrice, productrice, féministe, fait face avec courage et talent à une problématique dont elle constate chaque jour les effets dans le milieu du cinéma.

Parce que cette suite au célèbre film d'animation adulte va encore plus loin que son prédécesseur, ce qui n'est tout de même pas peu dire.

Parce que Marcelo Gomes, grand cinéaste brésilien, réalise ici son grand chef-d’oeuvre, ode aux femmes et à leur liberté.

Parce que cet implacable plan-séquence chilien d’1h26 va vous faire perdre la tête.

Parce que c’est un film qui résonne très fort avec une actualité douloureuse, un film qui peut panser des plaies.

Parce que cette histoire incroyable de double vie est authentique et a défrayé la chronique au Québec.

Parce que Louis Talpe a réduit son IMC de 17 à 7 en moins de six semaines pour le film.

Parce que la réalisatrice a découvert son actrice principale après l'avoir vu danser.

Parce qu'il faut découvrir le talent et la beauté de Lou Lampros.

Parce que ce mélodrame situé au Brésil confirme l’actrice portugaise Maria de Medeiros comme une cinéaste engagée.

Parce que ce thriller dénonce bruyamment et violemment les violences faites aux femmes amérindiennes aux États-Unis.

Parce que les deux réalisateurs sont frères, et se sont fait connaître par leurs vidéos YouTube avant de passer au cinéma.

Pour son premier long métrage la réalisatrice Shannon Murphy a décroché le Prix Jeunes Talents de Women in Motion, un prix qui consacre les créatrices qui font avancer la cause des femmes.

Parce que derrière ce titre énigmatique se cache un film doux et très juste sur le deuil.

Parce que sa violence fun et décomplexée rappelle le cinéma de Kitano

Parce que ce film ukrainien, tourné dans le Donbass avec des acteurs non professionnels, est une vision impactante, troublante, bouleversante de l'avenir de tout un pays.

Parce que le film parvient à renouveler le genre de la comédie familiale douce-amère

Parce que Matthew McConaughey en fait des tonnes dans la peau du héros et c'est un vrai bonheur. Harmony Korine l'a entouré de personnages délirants pour cette comédie frappadingue.

Parce qu'un jeu de massacre gore et déjanté filmé comme du Sergio Leone et traité façon cartoon.

Parce que cette exploration fantasmé en compagnie d’une actrice rappelle Mulholland Drive et Millenium Actress.

Parce qu'avec ce premier long-métrage de fiction, le canadien Félix Dufour-Laperrière prouve qu'il est possible d'accorder l'animation en noir et blanc avec des thèmes qui touchent au politique, à l'individuel et au collectif.

Parce que c’est un film hardcore, véritable ovni dans le paysage cinématographique français.

Parce que cette petite merveille indépendant a reçu le Grand Prix au Festival du cinéma américain de Deauville 2002.

Parce que les films de mafia, on connait, mais les films de mafia québécois, pas tant que ça.

Parce que le pitch est complètement délirant : un tueur en série se met à décapiter des réalisateurs iraniens. Sauf un...

Parce que cet étonnant mélange de documentaire et de fiction est basé sur des faits réels.

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que c'est le Nikita sud-coréen !

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que c'est le dernier opus de Jeanne Labrune à ce jour, un changement de cap, un film que l'on devine d'une sensibilité écorchée, qui nous va droit au coeur.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que le film fait un pas de côté permanent pour raconter autrement le quotidien d'un pays en guerre civile depuis des années.

Parce que plus de cinquante années après son apparition, le célèbre kaiju n’a jamais été aussi menaçant.

Parce que cette comédie noire truculente réunit le gratin des acteurs danois.

Parce qu’il s’agit du premier film estonien à avoir été nommé aux Oscars (c’était en 2015).

Parce que ce portrait de l’Iran entre totalement en écho avec la situation dramatique du pays, et notamment sur la condition des femmes.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que dans ce thriller prenant et subtil, la réalisatrice July Jung dirige Bae Doona à qui elle confiera à nouveau le rôle d’une enquêtrice dans About Kim Sohee.

Parce que l'efficacité plus qu'hollywoodienne de ce film sud-coréen est inattendue.

Parce que bien que datant de 2012, le film a été tourné en pellicule 35mm.

Parce que l'étonnant Takaaki Nomi, qui interprète le rôle principal, n'est pas acteur et ne comprenait pas qu'il tournait dans un film.