Tous les films de Nostalgie

films en streaming et en VOD

Parce que les deux réalisateurs sont frères, et se sont fait connaître par leurs vidéos YouTube avant de passer au cinéma.

Parce que ce film culte, véritable hymne à la jeunesse, a été une leçon de vie pour des générations de spectateurs.

Parce que les scènes du hall d'accueil des bureaux ont été tournées dans une des Twin Towers

Parce qu'on réalise tout à la fin, que le film ne comporte en fait que quatre personnages.

Parce que Robin Williams a reçu le Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical en 1988 pour ce rôle.

Parce que la rencontre entre Paul Newman et Tom Cruise orchestrée par Martin Scorsese reste un sacré coup de billard à trois bandes.

Parce que c'est le sixième et dernier film du cycle rohmérien des Comédies et Proverbes.

Parce qu'il fallait 5 heures minimum chaque jour pour maquiller Jeff Goldblum (sauf à la fin !)

Parce que le cinéma urbain allemand des années 80 pouvait rivaliser avec les séries B américaines badass.

Parce que ce classique de la comédie américaine a défini les codes du teen movie.

Parce qu'il fait partie des 45 films recommandés par le Vatican (ainsi que par le festival de Cannes puisqu'il a obtenu la Palme d'Or).

Parce que le film a été tourné sans scénario, au gré des improvisations des acteurs et actrices.

Parce que c’est une satire jouissive du film de mafia multirécompensée aux Golden Globes et aux Oscars.

Parce que les effets stop motion du film évoquent ceux de Ray Harryhausen.

Parce que cette suite directe du premier El Pico reprend les mêmes personnages déchus pour un nouvel opus, encore plus violent et plus provoquant.

Parce que le proverbe « Qui a deux femmes perd son âme, qui a deux maisons perd sa raison » soi-disant de Chrétien de Troyes, a été inventé par Eric Rohmer.

Pour y apprendre que D'Artagnan a eu un fils qui ressemblait à Michel Leeb, du moins ici

Parce que pour les Charlots, le film succédait au Retour des bidasses en folie

Parce ce film culte (et inédit en France) offre une vision crue, âpre et réaliste de la consommation de drogue chez les ados dans l'Espagne des années 80.

Parce que cette comédie d'Eric Rohmer possède un fan inattendu en la personne de Quentin Tarantino, qui le conseillait aux clients du vidéoclub où il travaillait dans les années 1980.

Parce qu'Eric Rohmer s'est inspiré de la morale de la fable de La Fontaine "La Laitière et le Pot au lait" : " Quel esprit ne bat la campagne ? Qui ne fait châteaux en Espagne ?".

Parce qu'on qualifia de fantastique ce film qui n’était qu’une histoire vraie de monstre de foire.

Parce que c'est la première collaboration entre Eric Rohmer et Fabrice Luchini, même si l'acteur a été coupé au montage.

Parce que c'est l'ultime rôle du grand Steve McQueen, qui mourra quelques mois plus tard et qui interprète ici un héros fatigué.

Parce que la présence de Gérard Jugnot jette un pont (ou plutôt un viaduc) entre la bande ces Charlots et celle du Splendid.

Parce que cette série B d'horreur efficace, pur produit du cinéma d'exploitation américain des années 70/80, est restée culte pour les multiples apparitions sanglantes de créatures au look de mini-méduses voraces.

Parce qu'on peut assister aux débuts d'un tout jeune Jean Reno, face à des vedettes confirmées comme Jean-Pierre Marielle, Darry Cowl et Daniel Prévost.

Parce que les Martin Circus - ici vedettes ! - apparaissaient déjà dans Les Bidasses en folie

Parce que c'est une oeuvre aussi méconnue que bouleversante sur la vie d'une femme dans une France qui n'existe plus.

Parce que la cupidité des dirigeants d’entreprise n’est pas nouvelle. La preuve, le cinéma en parlait déjà en 1978. Plus Serrault, Brasseur, Trintignant, Deneuve, plus le prix Louis Delluc et le César du meilleur film.

Parce que ce duo est irrésistible, et que ce film vaut le détour, même juste pour la bagarre d'anthologie dans le bowling.

Parce qu’il n'y a pas vilain plus vilain que Vitali, le méchant joué par Helmut Berger.

Parce que Patricia Highsmith, l'auteur du roman fut étonnée de voir ses personnages incarnés par Depardieu et Miou Miou

Parce qu’il n’y a pas que dans “Roadhouse” que les gorges des adversaires sont réduites en compote.

Parce que le film de Jacques Rouffio n'était que le 7e d'Isabelle Adjani

Parce que ce fut le dernier rôle au cinéma du toujours élégant Paul Meurisse.

Parce que Patrick Dewaere en moniteur de colonie (et Michel Blanc dans son 2ème rôle).

Parce que c'est une oeuvre de science-fiction délirante, absurde, sexuelle, déviante, hilarante !

Parce que les représentants en parapluie y deviennent peintre.

Parce que c’est un incontournable du cinéma d’arts martiaux asiatique.

Parce que le couple Nadine et Jean-Louis Trintignant (elle réalisatrice et lui acteur) a tourné ensemble cinq long-métrages de cinéma, un court et deux téléfilms.

Parce que la chanson du générique de fin est interprétée par Charles Aznavour.

Parce que c'est le second des deux films réalisés par Gérard Brach, scénariste entre autre pour Jean-Jacques Annaud, Claude Berri et Roman Polanski (qui lui a rendu la pareille en participant à l'écriture).

Parce que Maurice Ronet joue un parachutiste assassin, rôle qu'il tenait déjà une quinzaine d'année plus tôt dans "Ascenseur pour l’échafaud" de Louis Malle.

Parce que Gould et Sutherland s'appelaient Shirley sur le plateau - pourquoi? mystère - ce qu'Altman a gardé..

Parce que ce film d'espionnage, qui fait la part belle à son personnage féminin, a été le grand vainqueur de la 7e cérémonie des Golden Horse (les Oscars taïwanais).

Parce que le film est tiré de "Messieurs les hommes", 1955 Fleuve Noir Spécial Police N°67

Parce qu'il s'agit là non pas de un mais de deux films mis bout à bout

Parce que Jean Yanne, Jean Lefebvre et Michel Galabru jouent ici des Anglais, alors qu’on ne fait pas plus français qu’eux.

Parce que pour la première fois, un film adaptait San Antonio, il aura peu de descendance

Parce que le personnage de l'homme fort Ursus provient du très sérieux roman polonais "Quo Vadis ?" mais cette version de ses aventures est complètement fantaisiste.

Ce poème filmé dépayse et bouleverse. Sa superbe restauration rend sa beauté encore plus fulgurante.