Film des années 2010

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Parce que l'été est court en Lettonie (pays du Nord de l'Europe) mais qu'il est très bien rendu dans le film par l'usage de couleurs chaudes (rouge, jaune et orange).

Parce que c'est la tante du réalisateur Steven Wouterlood (dont c'est le premier long métrage) qui lui a fait lire le roman d'Anna Woltz, qu'il a alors eu l'envie d'adapter.

Parce que ce film de "survival" surprend et déjoue nos attentes par la présence inattendue de Charlotte Gainsbourg.

Parce que ce film émouvant est l'adaptation d'un livre qui est lui-même une histoire vraie (l'auteur y racontait sa vie et sa relation avec son frère handicapé).

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce qu'avec ce premier long-métrage de fiction, le canadien Félix Dufour-Laperrière prouve qu'il est possible d'accorder l'animation en noir et blanc avec des thèmes qui touchent au politique, à l'individuel et au collectif.

Parce que derrière un simple trajet dans l'habitacle d'une voiture se dessine un sujet bien plus glaçant.

Parce que c’est un film hardcore, véritable ovni dans le paysage cinématographique français.

Parce qu'on rêve tous d'un jumeau qui fait toutes nos corvées

Parce que Jenna Ortega, aujourd'hui star de la série "Mercredi" et de "Beetlejuice Beetlejuice", était alors toute jeune.

Parce que ce feel-good movie lumineux est un précieux allié pour bousculer les visions sur le handicap.

Parce que cette petite merveille indépendant a reçu le Grand Prix au Festival du cinéma américain de Deauville 2002.

Parce que le film fait converger sans papiers et foot au féminin

Parce que "Yandere" est un terme japonais qui décrit la façon dont l'amour dérive en folie furieuse ; ce qui résume bien ce court métrage.

Parce que les films de mafia, on connait, mais les films de mafia québécois, pas tant que ça.

Parce qu'à hauteur d'enfant, Agnès Patron parle d'abord aux adultes dans ce court-métrage mis en musique par Pierre Oberkampf.

Parce que c'est l'histoire d'un secret de famille qui débouche sur une véritable série noire, et donne naissance à un grand documentaire.

Parce que les personnages de ce film d'animation sont doublés par des habitués des films de super-héros : James Marsden a été Cyclope dans la saga "X-Men" et Alfred Molina le légendaire Docteur Octopus de "Spider-Man 2".

Parce que le pitch est complètement délirant : un tueur en série se met à décapiter des réalisateurs iraniens. Sauf un...

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

Parce que le film nous parle de migrants et d'adolescents

Parce que c’est un authentique film de geek, aux références nombreuses et intelligemment employées, pour un résultat ludique à souhait.

Parce que Charlotte Sivera transforme son portrait en déclaration d'amitié

Parce que les initiales du titre original forment le mot "MOM", c'est-à-dire "maman"

Parce que le film (d'animation) est moins sur James Brown que sur l'Amérique des années 60

Parce que la romancière Janneke Schotveld a écrit plus de dix livres racontant les aventures de Super Miss, ce qui offre l'opportunité de nombreuses suites à ce film.

Parce que le talent incomparable de l'acteur Alex Lutz, brillant interprète d'un chanteur de variété désabusé autrefois populaire, est aujourd'hui dépassé.

Parce que le film a été tourné rapidement et presque sans budget car la réalisatrice tenait absolument à filmer la jeune actrice Lisa Moell avant qu'elle ne soit devenue trop grande pour le rôle.

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que cet étonnant mélange de documentaire et de fiction est basé sur des faits réels.

Parce que ce film ravira tous les amateurs et toutes les amatrices de chevaux et de bons sentiments.

Parce que ce film d'animation émouvant aborde les thèmes de la vieillesse et de la maladie d'une façon accessible aux plus jeunes.

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce que c'est une comédie douce-amère sur la maternité et la place de la femme.

Parce que c'est le premier film hollywoodien qui romance sur une passion amoureuse homosexuelle adolescente.

Parce que le concept est tenu jusqu’au bout: le film est quasiment muet, tout en étant parfaitement terrifiant !

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que c’est le troisième film du réalisateur Drake Doremus à être projeté au Sundance Film Festival, preuve d’un vrai regard et d’un talent hors norme.

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que le film marque en 5 minutes la rencontre entre l'opéra et les danses urbaines

Parce que c'est le cinquième épisode de la saga des Ours Boonie, qui en compte de nombreux autres.

Parce que c'est le Nikita sud-coréen !

Parce que c'est un témoignage bouleversant sur le sevrage d'une drogue qui a marqué les esprits dans les années 1990

Parce que le film oh combien atypique pourrait qualifié de road movie improvisé

Parce que ce film, conçu comme une enquête, suit la piste de Franck, ami et comédien disparu depuis sa conversion à l'Islam, que le réalisateur tente de retrouver et filmer avec humanité.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que cette version restaurée du film de 1964 donne à voir le mime Marceau et son art, avec le Paris de son époque pour terrain de jeu.

Parce que Karin Viard finit par être touchante dans la peau d'une femme que l'on voudrait dans un premier temps gifler tant elle est odieuse.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce que pour les paysages fabuleux des montagnes du Tyrol.

Parce que vous devez voir ce film avec cette idée en tête : le personnage de Jennifer Lawrence serait Mère nature, la Terre abusée par Dieu et les humains.

Parce que le film est tourné à 2 caméras pour capturer aux mieux les enfants d'une classe

Parce que le tutu, c'est loin d'être démodé

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que c'est le dernier opus de Jeanne Labrune à ce jour, un changement de cap, un film que l'on devine d'une sensibilité écorchée, qui nous va droit au coeur.

Parce que le film a remporté le César du meilleur court en 2018

Parce que le bar du film existe vraiment ( à Brignogan!)

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.