LE PIÈGE en VOD
- De
- 1974
- 95 mn
Ce film n’est pas disponible
A Londres dans les années 70, un homme calme est recruté par un maître-espion et son assistante énigmatique pour commettre une agression sur un postier, porteur de diamants. En fait, l'opération vise à mettre au jour tout un réseau d'espions. Mais qui manipule qui?
Ce film n’est pas disponible
- Policier / Suspense
- Royaume-Uni | Etats-Unis
- - 12 ans
- VF
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
LES AVIS SENS CRITIQUE
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1 MIN AVANT
Ce MacKintosh Man, Le Piège en français, s’inscrit dans une longue tradition, qui a connu des hauts et des bas: le film d’espionnage.
Mais le MacKintosh dont il s’agit là, n’a bien sûr rien à voir avec la société Apple, qui en 73, n’existait pas encore. Ici pas d’ordinateur, pas de téléphone portable, on fait tout à la main. Les messages secrets sont transmis dans des crayons creusés, on s’échappe des prisons à l’ancienne, en bricolant, on se poursuit en voiture à ses risques et périls, on téléphone de cabines publiques, en passant par l’opératrice, on se bat à main nues sans artifices sonores...
C’est aussi l’époque où on tourne volontiers en décors naturels : ici, on verra un peu de Londres, mais aussi une belle poursuite en voiture sur la côte irlandaise, ainsi qu’un aperçu ensoleillé du port de La Valette, sur l’île de Malte.
Et bien sûr, on verra Paul Newman, alors au sommet de sa carrière, opposé au peu égalable James Mason, aussi impeccablement british que parfaitement pervers. Entre les deux, une surprise du chef, à la française, la présence étonnante et diaphane de Dominique Sanda. Le tout, sous l’œilleton parfois je-m’en-foutiste d’une des plus grandes gueules d’Hollywood, monsieur John Huston, à qui nous devrons toujours African Queen, Asphalt Jungle ou Le Trésor de la Sierra Madre. Ajoutons à cela le jeune Walter Hill au scénario, dix ans avant qu’il ne réalise 48 Heures, le film qui allait lancer les carrières d’Eddie Murphy et de Nick Nolte.
Et bien sûr, vous reconnaîtrez la musique de Maurice Jarre au premier coup d'oreille.
Alors non, un générique pareil, ça ne se refuse pas.
Mais le MacKintosh dont il s’agit là, n’a bien sûr rien à voir avec la société Apple, qui en 73, n’existait pas encore. Ici pas d’ordinateur, pas de téléphone portable, on fait tout à la main. Les messages secrets sont transmis dans des crayons creusés, on s’échappe des prisons à l’ancienne, en bricolant, on se poursuit en voiture à ses risques et périls, on téléphone de cabines publiques, en passant par l’opératrice, on se bat à main nues sans artifices sonores...
C’est aussi l’époque où on tourne volontiers en décors naturels : ici, on verra un peu de Londres, mais aussi une belle poursuite en voiture sur la côte irlandaise, ainsi qu’un aperçu ensoleillé du port de La Valette, sur l’île de Malte.
Et bien sûr, on verra Paul Newman, alors au sommet de sa carrière, opposé au peu égalable James Mason, aussi impeccablement british que parfaitement pervers. Entre les deux, une surprise du chef, à la française, la présence étonnante et diaphane de Dominique Sanda. Le tout, sous l’œilleton parfois je-m’en-foutiste d’une des plus grandes gueules d’Hollywood, monsieur John Huston, à qui nous devrons toujours African Queen, Asphalt Jungle ou Le Trésor de la Sierra Madre. Ajoutons à cela le jeune Walter Hill au scénario, dix ans avant qu’il ne réalise 48 Heures, le film qui allait lancer les carrières d’Eddie Murphy et de Nick Nolte.
Et bien sûr, vous reconnaîtrez la musique de Maurice Jarre au premier coup d'oreille.
Alors non, un générique pareil, ça ne se refuse pas.
Dans le même genre vous pouvez trouver LE SERPENT ou encore JUGE ET HORS-LA-LOI .