EXECUTIVE ACTION en VOD
- De
- 1974
- 91 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que le film était à un des premiers à dire que l'assasinat de Kennedy découlait d'un complot
Exaspérés par la politique de Kennedy, qu'ils jugent trop laxiste avec l'ennemi communiste et trop favorable à l'intégration raciale, plusieurs comploteurs motivés, riches et puissants mettent au point l'assassinat du président américain. Tout est organisé avec précision: le recrutement de plusieurs tireurs, les lieux de repli, etc. Le jour J, tout se passe comme prévu. L'arrestation ...
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- Policier / Suspense
- Etats-Unis
- Tous publics
- VM
1 MIN AVANT
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LES AVIS SENS CRITIQUE
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1 MIN AVANT
JFK, qu’Oliver Stone réalisa en 1991, reste pour beaucoup le film définitif sur l’assassinat du président Kennedy, le 22 novembre 1963. Force est de reconnaître que c’est un chef d’œuvre, tant formellement que sur le plan de la qualité de son argumentation en faveur de la théorie du complot. Mais ce n’est pas, et de loin, le premier film de fiction que suscita l’affaire. Executive action lui est antérieur de dix-huit ans.
Et tout comme JFK, il réfute la thèse officielle d’un tireur isolé, en l’occurrence Lee Harvey Oswald. Pour mieux souligner que la mort de Kennedy était une conséquence des fractures de la société américaine. Curieusement le signataire du film, David Miller, n’est pas au départ un cinéaste engagé, ni même l’un de ces jeunes prodiges qui allaient bientôt révolutionner Hollywood.
Mais la cheville ouvrière du film, c’est Burt Lancaster, qui incarne ici un réac cynique. Dans la vraie vie, c’était un homme de gauche convaincu, admirateur de Kennedy, dont il avait fait la connaissance lors du tournage de Sept jours en mai quelques mois avant l’attentat de Dallas. L’histoire d’un complot ourdi par l’armée contre la Maison blanche…
Et tout comme JFK, il réfute la thèse officielle d’un tireur isolé, en l’occurrence Lee Harvey Oswald. Pour mieux souligner que la mort de Kennedy était une conséquence des fractures de la société américaine. Curieusement le signataire du film, David Miller, n’est pas au départ un cinéaste engagé, ni même l’un de ces jeunes prodiges qui allaient bientôt révolutionner Hollywood.
Mais la cheville ouvrière du film, c’est Burt Lancaster, qui incarne ici un réac cynique. Dans la vraie vie, c’était un homme de gauche convaincu, admirateur de Kennedy, dont il avait fait la connaissance lors du tournage de Sept jours en mai quelques mois avant l’attentat de Dallas. L’histoire d’un complot ourdi par l’armée contre la Maison blanche…
Dans le même genre vous pouvez trouver JFK (C'est un autre film qui défend la théorie du complot dans l'affaire Kennedy) ou encore A CAUSE D'UN ASSASSINAT (Il traduit parfaitement la paranoïa du pays après la mort de Kennedy).