LES VOITURES QUI ONT MANGÉ PARIS en VOD
- De
- 1975
- 84 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce qu'il y a (c'est authentique) aussi un Paris en Australie, moins urbain...
Venus chercher du travail dans la ville australienne de Paris, Arthur et George sont victimes d'un accident de la route. George est tué et Arthur trouve un travail sur place comme gardien de parking. Arthur s'aperçoit peu à peu que les accidents de voiture du coin ne sont pas dus au hasard.
Ce film n’est pas disponible
- Fantastique / Horreur
- Australie
- - 10 ans
- VM
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
LES AVIS SENS CRITIQUE
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1 MIN AVANT
En Australie, après un accident de voiture ou son frangin perd la vie, un jeune homme se retrouve dans une mystérieuse petite ville ou il devient surveillant de parking. Il va alors faire face à une horde jeunes gens agressifs qui se déplacent dans d’incroyables bagnoles customisées tout en provoquant des accidents de voitures meurtriers… Tel est le pitch de ce film rare et étrange, le tout premier long métrage pour le cinéma de l’australien Peter Weir qui deviendra célèbre à Hollywood en signant des films comme Truman Show, le Cercle des poètes disparus et le superbe Master & Commander.
Avec ce film réalisé en 1975, Weir mettait en place de façon encore un peu brouillonne ce qui deviendra sa marque de fabrique pour les années à suivre. A savoir l’étrangeté ambiante et l’intrusion du fantastique dans le quotidien. Des thèmes qu’il abordera de manière un peu plus directe dans ces trois films suivants : Pique Nique à Hanging Rock, La Dernière Vague et Gallipoli. Les Voitures qui ont mangé Paris est donc volontairement anti-spectaculaire. Comme une version soft de Mad Max, classique du cinéma australien de genre réalisé quatre ans plus tard. Weir s’amuse donc à ironiser sur les rapports entre l’être humain et la voiture et sur l’absurdité de la violence. Le tout avec un humour noir qui lui est très très très personnel.
Avec ce film réalisé en 1975, Weir mettait en place de façon encore un peu brouillonne ce qui deviendra sa marque de fabrique pour les années à suivre. A savoir l’étrangeté ambiante et l’intrusion du fantastique dans le quotidien. Des thèmes qu’il abordera de manière un peu plus directe dans ces trois films suivants : Pique Nique à Hanging Rock, La Dernière Vague et Gallipoli. Les Voitures qui ont mangé Paris est donc volontairement anti-spectaculaire. Comme une version soft de Mad Max, classique du cinéma australien de genre réalisé quatre ans plus tard. Weir s’amuse donc à ironiser sur les rapports entre l’être humain et la voiture et sur l’absurdité de la violence. Le tout avec un humour noir qui lui est très très très personnel.
Dans le même genre vous pouvez trouver REINCARNATIONS ou encore MAX MAX .