BANCO À BANGKOK POUR OSS 117 en VOD
- De
- 1964
- 114 mn
Le « Peuple élu », une secte asiatique dirigée par le ténébreux et sadique Docteur Sinn, veut éliminer « les races parasites qui, victimes de leur folie atomique, risquent de détruire le monde entier ». Pour parvenir à leurs sinistres fins, ces fanatiques ont mis au point un nouveau virus de la peste, sensé n’épargner que leurs membres. L’agent américain Hubert Bonisseur...
- Aventure / Action
- France | Italie
- Tous publics
- VF - HD
1 MIN AVANT
En 1964, un an après le succès remporté par OSS 117 se déchaîne – presque deux millions et demi de spectateurs –, le producteur Paul Cadéac décide de puiser une nouvelle fois dans l’œuvre pléthorique de Jean Bruce, le papa d’OSS 117, alias Hubert Bonisseur de La Bath, agent secret américain, aux lointaines origines gauloises. Il choisit, cette fois, le roman intitulé Lila de Calcuta qui, par la grâce de cinq adaptateurs (pas moins !), deviendra Lila de Bangkok, plus exactement, Banco à Bangkok pour OSS 117.
Si l’Inde est abandonnée au profit de la Thaïlande, en revanche, certain qu’on ne change pas une équipe qui gagne, Cadéac fait appel à la même bande que l’année précédente : le réalisateur André Hunebelle, le compositeur (très jazzy) Michel Magne, le directeur de la photo Raymond Lemoigne et, dans le rôle du bel Hubert, le comédien américain Kerwin Mathews, 38 ans, déjà vu notamment en OSS 117 mais, aussi, en Sinbad, en Gulliver et en Jack, le fermier qui tue les géants.
Parmi les nouveaux venus, vous reconnaîtrez, dans le rôle du (très) méchant de service, Robert Hossein, entre le Repos du guerrier de Roger Vadim et Angélique, marquise des anges de Bernard Borderie, ainsi que la blonde Dominique Wilms, ex Carlotta de la Rue dans la Môme vert de gris du même Borderie, et la brune Pier Angeli, comédienne italienne, à cette époque très célèbre à Hollywood, donc... dans le monde entier
Dans le même genre vous pouvez trouver OSS 117 SE DÉCHAÎNE (1963) (Un an avant la Thaïlande, c’était en Corse qu’Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117, se déchaînait.) ou encore OSS 117: LE CAIRE, NID D'ESPIONS (2006) (Sur le ton de la parodie, le bel Hubert (devenu agent français), reprend du service...).