Curieux mariage que celui de la gastronomie et du cinéma, a priori sans affinités évidentes mais rempli de prolongements quand on y regarde de plus prés.
Lorsqu’il écrivait le Parrain, Francis Coppola disait qu’il se posait en permanence trois questions pour chaque scène : qu’entend-on comme musique ? Ou sont les enfants ? Et que mange-t-on ?
La nourriture au cinéma, c’est bien sûr et d’abord un thème en lui-même, celui du Festin de Babette par exemple, ou celui de Soleil vert dans un autre registre.
Lorsqu’il écrivait le Parrain, Francis Coppola disait qu’il se posait en permanence trois questions pour chaque scène : qu’entend-on comme musique ? Ou sont les enfants ? Et que mange-t-on ?
La nourriture au cinéma, c’est bien sûr et d’abord un thème en lui-même, celui du Festin de Babette par exemple, ou celui de Soleil vert dans un autre registre.