TOUT SUR MA MÈRE en VOD
- De
- 1999
- 97 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que le titre du film renvoie au All about Eve, de Mankiewicz
Manuela, mère célibataire, assiste à la mort accidentelle d'Esteban, son fils de 17 ans, renversé par une voiture alors qu’il traversait pour demander un autographe à une actrice. Selon le souhait d'Esteban, elle part à la recherche du père de celui-ci. Elle le retrouve à Barcelone , où il est devenu travesti et se fait appeler Lola. En chemin, elle rencontre plusieurs personnages ...
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- Drame
- Espagne | France
- Tous publics
- VM - HD
1 MIN AVANT
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LES AVIS SENS CRITIQUE
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13e film de Pedro Almodovar, Tout sur ma mère marque une transition nette vers un âge plus mûr. Progressivement, le cinéaste se débarrasse de la frivolité qui était sa marque de fabrique, pour traiter de considérations plus graves, plus personnelles et plus dramatiques. Cette tendance ira en s’accentuant.
Ici, Cecilia Roth joue une mère qui, lorsqu’elle perd son fils de 18 ans dans un accident, part à la recherche du père, disparu depuis longtemps. De Madrid à Barcelone, sa quête lui fait rencontrer une série de personnages pittoresques qui lui redonne goût à la vie et donne au cinéaste l’occasion d’imaginer pour le bonheur de ses actrices des rôles extravagants, depuis la diva dont son fils était fan jusqu’au père, devenu travesti, en passant par une nonne engrossée par le même père.
Dans un registre inventé par et pour lui–même, le cinéaste se laisse aller à une narration marabout de ficelle, bouclée par les hasards et pétrie de références cinéphiliques : il cite Eve de Mankiewicz, Un tramway nommé désir, et beaucoup de mélodrames des années 50, qu’il régurgite ici sous une forme que les Espagnols appellent Almodrama.
Ici, Cecilia Roth joue une mère qui, lorsqu’elle perd son fils de 18 ans dans un accident, part à la recherche du père, disparu depuis longtemps. De Madrid à Barcelone, sa quête lui fait rencontrer une série de personnages pittoresques qui lui redonne goût à la vie et donne au cinéaste l’occasion d’imaginer pour le bonheur de ses actrices des rôles extravagants, depuis la diva dont son fils était fan jusqu’au père, devenu travesti, en passant par une nonne engrossée par le même père.
Dans un registre inventé par et pour lui–même, le cinéaste se laisse aller à une narration marabout de ficelle, bouclée par les hasards et pétrie de références cinéphiliques : il cite Eve de Mankiewicz, Un tramway nommé désir, et beaucoup de mélodrames des années 50, qu’il régurgite ici sous une forme que les Espagnols appellent Almodrama.
Dans le même genre vous pouvez trouver FAR FROM HEAVEN ou encore IMITATION OF LIFE .