LA PLANÈTE DES SINGES en VOD
- De
- 2001
- 115 mn
2029. Aspiré dans un trou spatio-temporel au cours d’une tempête électromagnétique, l’astronaute Leo Davidson atterrit en catastrophe sur Ashlar, une planète où les singes sont maîtres et les humains, esclaves. Avec l’aide d’Ari, un chimpanzé femelle opposée aux mauvais traitements réservés aux dominés, et de quelques hommes rebelles, il s’oppose à l’armée des...
- Science-fiction
- Etats-Unis
- Tous publics
- VM - HD
1 MIN AVANT
C’est pendant que Tim Burton achevait le montage de Sleepy Hollow, sa troisième collaboration avec Johnny Depp, que le patron de la 20th Century-Fox, Richard Zanuck – fils de Darryl, fondateur du studio –, lui propose de tourner une nouvelle version de la Planète des singes, le roman d’anticipation du français Pierre Boulle que Franklin J. Schaffner avait déjà porté à l’écran en 1968, avec Charlton Heston.
Après de nombreuses hésitations, Burton accepta. Il précisera plus tard : « Ça a été le premier projet que j’abordais en sachant que c’était, non pas une erreur, mais très dangereux. » Grand admirateur du film de Schaffner, et fan de Charlton Heston, il préféra au mot « remake », celui de « réinvention », car, expliqua-t-il, « on ne peut pas refaire un film pareil ». Quoi qu’il en soit, le tournage commença le 6 novembre 2000 avec, dans le rôle de l’astronaute Leo Davidson, Mark Wahlberg, que Burton avait remarqué dans Boogie Nights, de Paul Thomas Anderson.
A ses côtés, dans le rôle de Ari, rebelle chimpanzé femelle opposée aux mauvais traitements réservés aux humains, Burton choisit l’Anglaise Helena Bonham Carter, que David Fincher venait de diriger en zonarde déboussolée, face à Edward Norton et à Brad Pitt, dans Fight Club. Après le tournage de la Planète des singes, elle deviendra sa compagne ainsi que son actrice fétiche qu’il dirigera, à nouveau et entre autres, dans Big Fish, Charlie et la Chocolaterie ou, encore, Sweeney Todd, le diabolique barbier de Fleet Street.
Dans le même genre vous pouvez trouver LA PLANÈTE DES SINGES (1968) (Qualifié par Burton de film « insurpassable », cette première version fut jugée « intéressante » par Pierre Boulle, l’auteur (français) du roman.) ou encore STAR TREK : NÉMÉSIS (2002) (L’équipage de l’Entreprise découvre une planète où, là aussi, l’humain a été réduit en esclavage.).