LA MER À BOIRE en VOD
- De
- 2012
- 94 mn
Ce film n’est pas disponible
Pour le tout dernier plan du film qui - météo oblige - a été improvisé
Le patron d'un chantier naval est pris de cours par la crise financière et doit licencier une partie de son personnel. Mais lorsque ses ouvriers décident de faire la grève et d'occuper l'entreprise, il prend la décision de se battre bec et ongles pour sauver celle-ci du désastre et rétablir la justice sociale bafouée.
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- Drame
- France
- Tous publics
- VF
1 MIN AVANT
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LES AVIS SENS CRITIQUE
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1 MIN AVANT
Georges est un patron de chantier naval qui voit un jour sa vie basculer lorsqu’il est lâché par sa banque et se voit dans l’obligation de licencier une partie de son personnel qui se met aussitôt en grève et occupe l’usine. L’homme se battra jusqu’au bout pour tenter de sauver l’entreprise qu’il a passé sa vie à construire, mais ce ne sera pas sans mal.
Réalisé par Jacques Maillot à qui l’on doit Les Liens du sang, La Mer à boire s’inscrit dans une veine sociale réaliste sans pour autant basculer dans le genre documentaire. Il s’agit-là bel et bien d’une fiction dans laquelle les situations dramatiques que vivent les personnages vont crescendo faisant la part belle au suspense mais aussi si l’on y regarde de près, à la romance.
C’est à Daniel Auteuil, Ugolin dans Jean de Florette et Manon des sources, que Jacques Maillot a confié le personnage de Georges, omniprésent de bout en bout dans le film. Auteuil ne se ménage pas dans ce rôle de patron gravement menacé par la crise économique ambiante et met toute sa rage au service d’un homme dont le combat n’est pas gagné d’avance.
Il y est entouré de Maud Wyler, vue dans La Brindille d’Emmanuelle Millet, de Yann Tregouët, remarqué déjà dans Trois couleurs-Bleu de Krzysztof Kieslowski alors qu’il était encore adolescent, d’Alain Beigel déjà présent dans Nos vies heureuses du même Jacques Maillot, et puis de Carole Franck, la mère de Sara Forestier dans Le Nom des gens. Il y a aussi dans le rôle de Mathilde, Lydia Andreï à qui Claude Chabrol avait confié un personnage intéressant, celui de Lisbeth, dans son film Merci pour le chocolat.
Réalisé par Jacques Maillot à qui l’on doit Les Liens du sang, La Mer à boire s’inscrit dans une veine sociale réaliste sans pour autant basculer dans le genre documentaire. Il s’agit-là bel et bien d’une fiction dans laquelle les situations dramatiques que vivent les personnages vont crescendo faisant la part belle au suspense mais aussi si l’on y regarde de près, à la romance.
C’est à Daniel Auteuil, Ugolin dans Jean de Florette et Manon des sources, que Jacques Maillot a confié le personnage de Georges, omniprésent de bout en bout dans le film. Auteuil ne se ménage pas dans ce rôle de patron gravement menacé par la crise économique ambiante et met toute sa rage au service d’un homme dont le combat n’est pas gagné d’avance.
Il y est entouré de Maud Wyler, vue dans La Brindille d’Emmanuelle Millet, de Yann Tregouët, remarqué déjà dans Trois couleurs-Bleu de Krzysztof Kieslowski alors qu’il était encore adolescent, d’Alain Beigel déjà présent dans Nos vies heureuses du même Jacques Maillot, et puis de Carole Franck, la mère de Sara Forestier dans Le Nom des gens. Il y a aussi dans le rôle de Mathilde, Lydia Andreï à qui Claude Chabrol avait confié un personnage intéressant, celui de Lisbeth, dans son film Merci pour le chocolat.
Dans le même genre vous pouvez trouver DE BON MATIN (Le film de Jean-Marc Moutout met en lumière le désespoir d'un homme face à la crise sociale.) ou encore LES NEIGES DU KILIMANDJARO (Dans ce film de Robert Guédiguian, des ouvriers sont également mis au chômage pour cause de crise économique.).