STALINGRAD en VOD
- De
- 2001
- 126 mn
Ce film n’est pas disponible
Pour le souffle historique de Jean-Jacques Annaud qui sait rester en permanence à hauteur de soldat
Hiver 1942 : au cours de la bataille de Stalingrad, un jeune tireur d’élite, ancien paysan, se fait remarquer par la virtuosité avec laquelle il élimine les officiers allemands. Il est montré en exemple, mais les espoirs placés en lui commencent à le faire douter de lui-même. C’est alors que les Allemands envoient sur place leur meileur tireur d’élite pour éliminer le sniper...
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- Guerre / Western
- Etats-Unis | Allemagne | Royaume-Uni
- Tous publics
- VM - HD
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
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1 MIN AVANT
Adapté du roman Enemy at the gates de William Craig, Stalingrad raconte un duel quasi intimiste entre deux tireurs d’élite dans le contexte de la monstrueuse bataille de Stalingrad qui a définitivement arrêté l’élan des armées d’Hitler en Russie. Sergio Leone en avait rêvé, c’est finalement Jean-Jaccques Annaud qui s’en est emparé.
Plutôt que d’illustrer frontalement une bataille épique, Annaud s’est concentré sur le duo de tireurs interprétés par Jude Law et Ed Harris. La guerre en elle-même est reléguée à l’arrière-plan, de même qu’une intrigue secondaire conventionnelle qui montre un triangle amoureux enre un commissaire politique, une combattante russe et le sniper soviétique.
Dès qu’il se concentre sur ce qui l’intéresse, Annaud devient passsionnant. Il traite le duel d’une façon purement cinématographique, c’est à dire quasiment sans dialogue. Très vite, le cours du récit vire à l’étude obsessionnelle d’une activité où l’œil, le regard, la vue, la vision, la visée, l’optique, occupent une place essentielle. Au point qu’on en vient à soupçonner Annaud de s’être pris au jeu et d’avoir rapproché l’activité des tireurs de celle du cinéaste. Après tout, il a tourné en anglais , une langue dans laquelle on utilise le même mot pour dire filmer et tirer : shoot.
Plutôt que d’illustrer frontalement une bataille épique, Annaud s’est concentré sur le duo de tireurs interprétés par Jude Law et Ed Harris. La guerre en elle-même est reléguée à l’arrière-plan, de même qu’une intrigue secondaire conventionnelle qui montre un triangle amoureux enre un commissaire politique, une combattante russe et le sniper soviétique.
Dès qu’il se concentre sur ce qui l’intéresse, Annaud devient passsionnant. Il traite le duel d’une façon purement cinématographique, c’est à dire quasiment sans dialogue. Très vite, le cours du récit vire à l’étude obsessionnelle d’une activité où l’œil, le regard, la vue, la vision, la visée, l’optique, occupent une place essentielle. Au point qu’on en vient à soupçonner Annaud de s’être pris au jeu et d’avoir rapproché l’activité des tireurs de celle du cinéaste. Après tout, il a tourné en anglais , une langue dans laquelle on utilise le même mot pour dire filmer et tirer : shoot.
Dans le même genre vous pouvez trouver DUEL DANS LE PACIFIQUE ou encore CROIX DE FER .