LES CHEVALIERS DU ZODIAQUE

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Pour celles et ceux d’entre vous qui ont eu la chance de vivre leur jeunesse ou leur adolescence entre 1988 et 1997, « Les chevaliers du zodiaque » reste une des séries animées les plus fameuses et populaires. Les aventures de ces héros à mi-chemin entre la mythologie et l’heroic-fantasy firent les beaux jours du « Club Dorothée », adaptées d’un manga japonais parmi les plus populaires baptisé « Saint Seiya ».  

Plusieurs films d’animation ont poursuivi la saga et voici maintenant la version de chair, d’os et de pas mal d’effets spéciaux ! Voici donc la genèse des fameux chevaliers, auxquels va se joindre le dénommé Seiya, ado japonais découvrant ses propres pouvoirs psychiques et physiques insoupçonnés avant de rejoindre les rangs de l’armada en armure de la déesse Athéna.  

Au générique de cette superproduction américano-nipponne, vous reconnaitrez l’acteur Mackenyu, entouré de Famke Janssen ou de Sean Bean… 

 
Dans le même genre vous pouvez trouver TRANSFORMERS (Deux production de la Toei Company basés sur des personnages de mangas connus dans le monde entier et dont les produits dérivés ont fait la fortune de leurs auteurs...) ou encore LE CHOC DES TITANS (Des héros tout droit sortis de la mythologie et de l'heroic-fantasy, vêtus d'armures et dotés de pouvoirs fantastiques...).

Derrière le triomphe jusqu’ici jamais démenti des « Chevaliers du zodiaque », se cache le créateur du manga originel : Masami Kurumada. Dès l’âge de 24 ans, en 1977, ce surdoué du dessin accède au succès grâce à une série de vingt-cinq tomes, « Ring Ni Kakero » se déroulant dans l’univers de la boxe, qui sera adaptée en série animée au Japon. Dans les années qui suivent, l’auteur multiplie les créations, jusqu’à imaginer celle qui va lui assurer le triomphe planétaire : « Saint Seiya », que nous connaissons en Occident sous l’appellation « Les chevaliers du zodiaque ».  

Télévision et cinéma vont bientôt s’arracher ces aventures, grâce au savoir-faire de la Toei Company, grande société japonaise de production pour le petit et le grand écran. A son actif, (et ce depuis de début des années 50), des films de genres assez variés mais aussi une branche animation, propriétaire d’une impressionnante série de titres devenus emblématiques dans le monde entier, adulés par des générations de jeunes (télé)spectateurs : « Olive et Tom », « Dragon ball » puis « Dragon ball Z », « One piece », « Transformers » et donc « Les chevaliers du zodiaque »…  

Mais Toei je le disais ne s’est pas contenté du jeune public. Au catalogue de sa division cinéma, on note des productions très différentes, qui vont du film de genre version arts-martiaux comme « Le mont Fuji et la lance ensanglantée », « Les moines lanciers du temple Hozoin » ou « A deux sabres » en passant par le pur film d’auteur comme « La balade de Narayama » de Shohei Imamura, palme d’or du Festival de Cannes en 1983, des associations avec Hollywood comme « Yakusa » de Sydney Pollack , des œuvres futuriste à l’instar de « Samurai reincarnation » mais également des choses réservées à un public plus spécialisé comme « Lady yakusa », « La femme-scorpion » ou le sulfureux « Le pensionnat des jeunes filles perverses » ! 

Ce film est une interprétation du manga saint seiya. Le scénariste à réussis à écrire un scénario intéressant en reprenant quelques éléments du manga avec de la originalité . Les effets spéciaux sont globalement réussis malgré quelques raté sur certaines scènes. ...

Franchement un très bon film qui a du potentiel malgré les effet spéciaux mitigé mais franchement plein d'action un histoire construite et vraiment j'ai pris un plaisir a regarder ce film. Pour les fan de l'animé, il ne faut pas s'attendre à un film exact ...

Que reste-t-il de l'animé qui a fait vibrer notre jeunesse, nous a ému, transporté, éveillé au septième sens, nous a gardés enfermés même par beau temps les mercredis après-midi, nous a même valu quelques punitions, une fois passé à la moulinette impitoyable d'Hollywood, ...